Dans une tribune du quotidien Libération, le dramaturge libano-québécois et directeur du Théâtre national de La Colline, Wajdi Mouawad explique comment il s’est libéré de sa détestation viscérale pour ceux qui n’étaient pas de son clan. Il appelle à ne pas tomber dans le piège tendu depuis le 7 octobre par l’esprit destructeur du Hamas qui veut faire en sorte que «l’après» soit avant tout la haine du Juif.

Parce que je crois que tous les relais qui peuvent mener à la tolérance de l’homme par l’homme appartiennent à tous, je prends ici la liberté de reproduire cette tribune.
Comme à chaque fois, j’espère que mon quotidien préféré ne m’en voudra pas.
Voici.




Wajdi Mouawad