Elle est là qui s’essouffle.
Elle en a un peu par-dessus la tête de ce qui lui est passé sur le dos.
Elle ne demande qu’à dormir, qu’à aller se répandre ailleurs.

Au moment de mourir, épuisée, elle sait déjà, qu’elle renaîtra.
Ça ne lui procure aucune joie,
seules celles peut-être de l’espoir du jour où, 
Phénix fatigué, à nouveau, elle s’ébrouera.

Et où tout le monde,
vous, toi et moi, 
nous nous la souhaiterons, belle.
Sans trop d’espoir. 

Mais sait-on jamais, se dira-t-on.
Comme tous les ans.
Avec une innocence à chaque fois renouvelée.

Ce qui reste de pureté.


Belle, on vous la souhaite belle, sincèrement, cette année.

Elle est entre nos mains.
Qu’en ferons-nous ?

À tout bientôt.

Laissez-moi déjà vous présenter ceci :

Est-ce bien normal de demander à cette merveille-là
de protéger celle(s)
que nous n’avons fait que détruire ?
Celle(s)-ci :

Belle année à nous tous !

Sincèrement