On ne peut pas rire de tout. Ou alors avec intelligence.

On connait certain Président au sein de cette Europe en crise, principalement sociale, qui parle de ceux qui ont réussi, les opposant à ceux qui ne sont rien. Ça vous a un petit côté Louis XIV dans un pays qui a décapité ses rois… ou je me trompe ?

Le fardeau de la fonction, quel est-il ? Le fardeau de la misère quel est-il ?

Osons aujourd’hui dédier à Méprisant Premier, appelé aussi Emmanuel Macron, cette lettre “S” de l’Alphabet de Bertrand Russell. Peut-être saura-t-il reconnaître – sinon le voici informé – que le sacrifice vient avant tout de celui qui est sacrifié. Et qui, à ses yeux, n’est rien. Il faudra bien un jour opposer la révolte au cynisme.

Comme je le rappellerai en début de chacun des billets que je lui consacrerai, l’alphabet de Bertrand Russell, en anglais, a été traduit ici en français. L’initiale des mots ne correspondant pas nécessairement, j’introduirai toujours le billet par la version anglaise du mot choisi par Russell.

Lettre S comme Sacrifice aujourd’hui. Photo : Lee Jeffries.


Prochain billet de cet Alphabet : T comme… True (vrai).

Bonne découverte à vous.

À tout bientôt ?