Rentrée moins 3
Sans commentaire.
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À bientôt.
Ressentis, engagements, appropriations, révoltes, doutes, certitudes, réflexions… Un peu de littérature aussi, de philosophie s’il se peut, de poésie. Et de musique, on en a tellement besoin !
C’est dans cette approximative petite lucarne que verront périodiquement le jour, à l’avenir, en sus de mes humeurs pas toujours égales, les nouvelles éditions de TamTam dont il vous est déjà loisible de consulter les archives en cliquant ici
Belle découverte à vous !
Rentrée moins 3
Sans commentaire.
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À bientôt.
Qu’il puisse exister aujourd’hui encore un cinéma à la fois critique et honnête n’est pas une évidence. Trop de pans de nos sincérités, en même temps que de nos espoirs, sont chaque jour remis en question, abîmés, voire même annihilés pour qu’on se berce encore de cette douce illusion. Un pays qui se tient sage de David Dufresne échappe à ce scepticisme. Je n’en dirai pas plus ici.
On peut lire la critique de Libé en cliquant ICI.
Et puis, ceci.
David Graeber
L’anthropologue américain, penseur de l’après-capitalisme, est mort mercredi à Venise.
Entre recherche et militantisme anarchiste,
il cernait les faiblesses des sociétés libérales et avait incarné le mouvement Occupy.
J’essaierai de lui consacrer un billet un de ces prochains jours…
Édition minuscule
Gaëlle Boissonnard, peintre, illustratrice, céramiste et tellement d’autres choses encore, dont j’ai relayé ici l’appel à financement participatif en vue de la production d’une nouvelle collection de cartes illustrées, lance ces prochains jours la dite collection, libérée des contraintes éditoriales habituelles…
Recherche de distributeurs, de revendeurs, tout ça est en train de se faire.
On peut découvrir le cours des choses et contacter Gaëlle en allant se promener ici.
Libres d’obéir.
C’est le titre du dernier essai de Johann Chapoutot, historien spécialiste d’histoire contemporaine, du nazisme et de l’Allemagne.
Sous-titré Le management, du nazisme à aujourd’hui, l’ouvrage explore le nazisme en tant que « matrice du management moderne ».
Éclairant.
Découvrez la quatrième de couverture en cliquant sur le visuel ci-dessous.
NRF Essais, Gallimard
“Face à la crise écologique, nous avons fait exactement ce qu’il ne faut pas faire.”
Une interview
(par Libération) du sociologue et philosophe Bruno Latour, auteur de Où atterrir ? paru récemment aux Éditions La Découverte…
L’interview est à découvrir et télécharger gratuitement en cliquant
ICI
Libération publie aujourd’hui une brève nouvelle de Paul Auster, écrite pendant cette période de confinement.
Plus besoin, j’imagine de présenter celui qu’on considère comme un des plus grands romanciers américains vivants.
Pour télécharger cette nouvelle dans sa version traduite en français, cliquez ici.
Bonne lecture à vous !
Il a été déjà question ici – Glané çà et là (6) – de la philosophe Barbara Stiegler et de son livre
« Il faut s’adapter”.
Une interview donnée par elle ces jours-ci au magazine Marianne nous éclaire davantage sur les mouvements et relais de sa pensée…
À découvrir ici.
Bonne lecture !
“Les connards qui
nous gouvernent”
On se souvient des interventions enflam-mées du philosophe et économiste Frédéric Lordon lors des actions du mouvement
Nuit Debout.
Le voilà, en pleine crise dite du coronavirus, qui se rappelle à nous dans un article sans concession (et sans langue de bois ni minau-deries) paru dans le
Monde diplomatique.
Incendiaire.
À lire en cliquant sur le visuel ci-dessus.
Pas lu encore, mais j’aimerais bientôt m’y attacher.
La société d’exposition, de Bernard E. Harcourt est décrit comme une
Critique puissante de notre nouvelle transparence virtuelle, et une Analyse de ce que les technologies big data font à nos vies, et de la manière dont elles s’y introduisent, et révèle l’ampleur de notre renoncement, volontaire, à la liberté –
jusqu’à l’acceptation de toutes les dérives sécuritaires.
Ces atteintes à nos libertés sont flagrantes.
Pourtant, nous ne semblons pas nous en soucier.
Téléchargez ici l’interview de
Bernard E. Arcourt
réalisée par FranceInfoCulture
(au format .pdf)
Trump,
lumineux dernier ouvrage du philosophe Alain Badiou, porte assez mal son titre.
Loin d’être un portrait de l’actuel “locataire” de la Maison blanche, c’est d’une étude en profondeur d’une société malade, dont la vulgarité et l’inculture au pouvoir sont un symptôme, qu’il s’agit.
Cent pages d’une philosophie politique, nerveuse, profonde et inquiétée autant qu’inquiétante …parce que lucide.
Presses Universitaire de France. 11€
(J’en parlerai davantage dans un prochain billet)
Neolibéralisme, suite. Une rencontre avec le sociologue et philosophe Edgar Morin.
Une vision sans doute un peu moins technocrate de la question de notre futur.
Plus franco-française sans doute aussi. Même si ces mots-là tendent à nous échapper toujours plus.
Je vous annonçais dans mon “Glané çà et là” du 04 11 19 (le numéro 3) la libération de l’écrivain et essayiste turc Ahmet Altan.
Le pire n’est jamais décevant. La mascarade continue. La cour pénale turque a cassé mardi l’arrêt de la Cour de cassation qui prévoyait de rendre la liberté à l’écrivain. Le pouvoir turc ne connaît décidément pas la musique du mot liberté quand il s’agit de celle de ceux qui osent en parler…
Des informations ICI.
Comme une petite suite à mon Glané çà et là (5) consacré à l’étude,
par Pierre Bourdieu,
du néolibéralisme.
Une brève interview, menée par Simon Blin, de la philosophe Barbara Stiegler.
(dernier ouvrage paru :
“Il faut s’adapter”
Paris, Gallimard, coll. « NRF Essais », 2019, 336 p)
Il y a un peu plus de 20 ans (mars 1998), Pierre Bourdieu, philosophe et sociologue, publiait sous le titre L’essence du néolibéralisme, un texte qui aujourd’hui n’a rien perdu de sa pertinence.
Que du contraire.
Difficile de trouver un texte plus clair et percutant sur ce que Bourdieu appelle un «programme de destruction des structures collectives capables de faire obstacle à la logique du marché pur»
Le Monde diplomatique a l’heureuse initiative de republier ce texte dans ses colonnes.
Il est disponible ici.
Bonne lecture à vous !
Le destin existe-t-il ?
Où en sommes-nous de nos choix et, partant, de nos responsabilités ? Qu’est-ce que l’absence et son corollaire, l’attente ?
Et puis, le secret ?
Quel est le poids de l’homme dans la société des hommes ?
Somptueux dernier opus du grand écrivain espagnol Javier Marias, Berta Isla brasse sans complaisance tous ces sujets-là …et d’autres encore, parmi lesquels : qu’est la femme dans le couple ?
À lire absolument !
Gallimard. Collection Du monde entier. 23€
En lien direct avec mon billet « Ces mots qu’on utilise…” du 11 octobre 2019, l’intégralité des 5 livres du Gai Savoir de Friedrich Nietzsche est téléchargeable gratuitement en cliquant
ICI
LIENS AMIS
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Gaelle Boissonnard (le site)
Créatrice de beautés
Gaëlle Boissonnard (le blog)
à tu et à toi
Gaëlle Boissonnard (stages)
Couleurs, tampons, etc.
Maurice Frydman
Secoueur de douleurs
Marc Deneyer
Noir/Blanc/Lumières
TamTam
Interrogations en tous genres
BaoBab
Graphismes, mais pas seulement
Ligue des Droits de l’homme
Dignité sans frontières
Amnesty International France
Prix Nobel de la Tendresse
La Cimade
L’humanité passe par l’autre