J’ai déjà, à plusieurs reprises, relayé sur ce blog
certaines interventions, certains travaux
de mon amie Gaëlle Boissonnard,
qui dans le domaine de l’illustration
qui dans ceux de la peinture,
la céramique, la sculpture, voire la couture.

Depuis quelques années, Gaëlle a entrepris
de proposer une nouvelle gamme de papeterie,
imprimée localement, aux finitions artisanales,
emballée et distribuée par ses soins à toute petite échelle.
Cela lui a permis, dit-elle, d’insuffler dans ses dessins
un air un peu plus libre, un peu plus léger.

Sous le nom de Gaëlle Boissonnard-Édition minuscule,
Gaëlle lance en production ces jours prochains,
une nouvelle collection de cartes qui s’appellera Et si la vie…
Elle y a travaillé en pensant aux valeurs qui lui importent.
Un profond besoin d’être reliée à son environnement naturel,
l’idée de faire avec peu et la joie d’inventer qui en découle
– à l’opposé de la consommation aveugle –,
celle de faire de chaque instant une fête…

Même d’ampleur volontairement modeste,
ce projet, on s’en doute, suppose un investissement
que la conjoncture (comme disent les sans-âmes financiers)
n’encourage pas. C’est le moins qu’on puisse dire.

Gaëlle a décidé dès lors de faire appel au financement participatif.
Un financement dont elle a illustré les contours

…en oubliant d’y inclure le poste sans lequel rien ne se peut :
la Création, son métier.
Excès de modestie ? Syndrome freudien ?
Nul ne sait.
Pas même, sans doute, elle-même.

Pour découvrir sa campagne de financement,
cliquez sur le visuel ci-dessus.

Et si vous pouvez l’encourager…