Inutile, je crois, de commenter davantage ce que la lettre “X” – et, en même temps qu’elle, la xénophobie – inspire à Bertrand Russell. La définition dérisoirement proposée par lui se suffit à elle-même.

L’Ami Devos, roi du surréalisme verbal, décale un peu plus encore le propos. Et voue la xénophobie au pilori. Du moins l’espère-t-on…

Comme je le rappellerai en début de chacun des billets que je lui consacrerai, l’alphabet de Bertrand Russell, en anglais, a été traduit ici en français. L’initiale des mots ne correspondant pas nécessairement, j’introduirai toujours le billet par la version anglaise du mot choisi par Russell.

Lettre X comme… Xénophobie aujourd’hui.

Prochain billet de cet Alphabet : Y comme… Youth (Jeunesse).

Bonne découverte à vous.

À tout bientôt ?