Sans commentaire, oui.
Simplement, le souhait,
au travers de ce reggae qui date de 2007,
de remettre au cœur de nos préoccupations
la situation des migrants
que le coronavirus a eu, semble-t-il,
le triste talent d’effacer des unes des journaux.

C’était en 2007, donc.
C’était Tiken Jah Fakoly.


À bientôt ?