À gauche, sur la photo (sur la photo seulement), Emanuel Macron, ci-devant Président de la République française.

À droite le très connu bienfaiteur de l’humanité, j’ai nommé Mohammed ben Salman.

Embrassades. Pourquoi s’en priver ?

Le premier est président de la République française, faute d’être celui de tous les Français. On est bien d’accord, personne n’est parfait.

Le second est l’odieux à qui on doit, depuis ce début d’année, 104 condamnations à mort (une paille !)

Emmanuel Macron, c’est la France, dit-on. Et, par-delà l’Europe.

Et cette Europe, clame avec Emmanuel Macron, qu’elle ne saurait imaginer d’accueillir en son sein des pays qui songeraient encore à appliquer cette loi immonde du Talion qu’est la peine de mort.
Des pays avec lesquels on fait volontiers commerce d’armes…

Ça n’interdit pas de s’embrasser.
Ça n’empêche rien.
Le cynisme, c’est comme ça.
Les mots, vous savez, ne sont que des prunes, sitôt découvertes, sitôt achetées, sitôt mangées, déjà oubliées.

Emmanuel Macron n’assassine personne, merde ! Ce n’est qu’un complice. Qui avale des prunes. Qui abime ce qu’est le désir profond des Français. Et qui, par négligence ou bêtise ou idéologie, tue.

Se méfier du mensonge, se méfier de l’arrivisme, se méfier du “Je” qui prétend qu’il sait.

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À bientôt ?