Quatrième “épisode”, quatrième lettre de cet abécédaire…

“D” donc. D comme diabolique.

On aurait pu dire “D comme dérision” aussi.

C’est dégueulasse, c’est vrai, que les pauvres ne mettent pas un peu plus de cœur à enrichir les riches !

Dans quel monde vit-on ? On ne peut faire confiance à personne.

Comme je le rappellerai en début de chacun des billets que je lui consacrerai, l’alphabet de Bertrand Russell, en anglais, a été traduit ici en français. L’initiale des mots ne correspondant pas nécessairement, j’introduirai toujours le billet par la version anglaise du mot choisi par Russell.

Pour celui-ci : DIABOLIC (Diabolique)

Prochain billet de cet Alphabet : E comme… Erroné.

Bonne découverte à vous.

À tout bientôt ?