Athée, c’est peu dire, opposé viscéralement à toute religion ou forme de religion, Russell ne pouvait que se délecter de l’exercice iconoclaste auquel il avait décidé de se livrer avec son Alphabet du bon citoyen, outil de subtile (?) provocation.

À chacun d’inventer sa compréhension de sa définition du …bon chrétien. Difficile cependant de n’y voir pas une profonde critique du schisme entre les intentions premières de la chrétienté et ses pratiques…

On voit ça ?

Comme je le rappellerai en début de chacun des billets que je lui consacrerai, l’alphabet de Bertrand Russell, en anglais, a été traduit ici en français. L’initiale des mots ne correspondant pas nécessairement, j’introduirai toujours le billet par la version anglaise du mot choisi par Russell.

Pour celui-ci : CHRISTIAN (Chrétien) – Illustration Jérôme Bosch

Prochain billet de cet Alphabet : D comme… Diabolique.

Bonne découverte à vous.

À tout bientôt !